J’ai toujours un bon paquet de billets en
préparation. Billets que j’ai parfois du mal à terminer et à poster. C’est le
syndrome des 80/20, à savoir que 80% du boulot est effectué en 20% du temps et qu’après
c’est la merde pour terminer. Phénomène d’autant plus étrange que j’utilise une
méthode révolutionnaire de gestion du temps !
Alors, en attendant de terminer tout ça -
ou pas - je lève le voile sur un petit bout de cuisse histoire de vous tenir en
haleine (de mouton).
- Hackers are early adopters : un billet consacré au modèle de diffusion de l’innovation de Everett Rogers. Je sais, vu d’ici ça s’annonce super-chiant à lire. À bien y réfléchir, c’est déjà super-chiant à écrire. Ou pas ;)
- Les phrases avec lesquelles j’ai du mal : comme le titre l’indeek, un florilège de formules toutes faites qui me crispent un peu(*). Surtout quand c’est moi qui les prononce.
- Smoke on the water : ou j’expleek que ce n’est pas parce qu’un riff est facile à jouer qu’il est pas à se poignarder de bonheur(**)
- Massacre à la tronçonneuse : un billet sur la créativité et les multiples manières de couper un gâteau framboise-chocolat en 8 parts. Il est possible que les différentes manières marchent sur d'autres parfums que framboise-chocolat, mais franchement je vois pas l’utilité.
- Et aussi : un billet consacré au nombre 42, un faire-part de naissance geek, un billet sur le groupe blackmammouth, et enfin tout ce que vous allez me suggérer dans l’intervalle.
Tout ça pour dire que commencer des
billets c’est bien, mais les terminer c’est pas mal non plus. Je laisse le
dernier mot à la sagesse populaire de ce vieux dicton japonais : quand tu
as fait 9 pas sur 10, il te reste encore la moitié du chemin. D'où l'image.
(*) qui me crissent un pneu, comme dirait
un pote motard.
(**) Oulah, double négation à tiroir… Même
en relisant la phrase je suis plus certain de tout capter.